Enseignante valaisanne et mère de famille, Laure Coutaz vit d’expériences et d’aventures. Théâtre, graphisme, écriture, la création fait partie intégrante de son quotidien. Pour elle, depuis petite écrire est à portée de doigts, presque obligatoire et naturel. Et comme la vie mène sans cesse à des questions, elle a de quoi faire depuis très jeune. Bercée par Barbara, Brassens, Damien Saez, Christian Bobin et bien d’autres, Laure prend un chemin vers l’écrit personnel et très simple. Son premier ouvrage explore, au travers d’une poésie en prose délicate, la mort, l’absence et surtout le quotidien.

 

Celui qui file entre les feuilles mortes, celui qui se cache entre les respirations, celui qu’on oublie trop.

Perdre un être cher et soudain voir toutes ces petites choses qui nous accompagnent chaque jour, mine de rien.

« Je n’aurais pas besoin de revoir mon père, juste l’ardent savoir qu’il vit quelque chose quelque part. »

 

Avec un immense plaisir, Laure part sans cesse à la rencontre des lecteurs et des amoureux des mots à l’occasion

de différents événements littéraires romands.

En parallèle, elle s’occupe du secteur jeunesse pour la Société des Écrivains Valaisans et les Cellules Poétiques de Martigny.

 

Laure Coutaz sur Facebook et laure_coutaz sur Instagram

Laure Coutaz sur www.culturevalais.ch

 

Quand il faudra partir, éditions Torticolis et Frères, 2018

Songe du jour ordinaire, nouvelle, Revue littéraire romande, La Cinquième Saison n°8, 2019

Femme fleurs, éditions Torticolis et Frères, 2021

 

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